"Prendre soin de son enfant intérieur par la visualisation"
Prenez un temps où vous ne serez pas dérangé et relaxez-vous.
Respirez avec le ventre et concentrez-vous sur votre respiration. Ensuite, fermez les
yeux et continuez à vous détendre. Votre esprit vous emmène dans un endroit que
vous appréciez, confortable et où vous vous sentez en toute sécurité.
Visualisez-vous petit enfant, laissez venir les images sans chercher à les contrôler, laissez venir les émotions, les couleurs, les odeurs ou encore les détails du lieu où vous vous trouvez. Soignez attentif au message qu'il vous transmet, aux expressions de son visage. Demandez-lui ce qu'il se passe et ce dont il a besoins. Ce que vous pouvez faire pour l'aider.
Puis, laissez l'adulte que vous êtes, vous rapprocher pour le consoler, prenez lui la main et ensuite calmement dans vos bras, dites-lui ce que vous ressentez pour lui. Prenez votre temps car cet enfant qui n'a pas l'habitude de vous peut se méfier, vous tourner le dos. Laissez-lui le temps de vous reconnaître, de prendre confiance. Dites-lui qu'il est accepté et aimé tel qu'il est et combien vous êtes fier de lui. Que son innocence, sa joie de vivre, sa spontanéité vous manque et que vous aimeriez les retrouver.
Lorsque vous ressentez que votre enfant est complètement rassuré, qu'il est serein,
remerciez-le et dites-lui que vous reviendrez le voir, que vous prendrez
dorénavant soin de lui. Laissez-le repartir confiant, serein, en lui faisant un
signe de la main.
Après ce travail avec votre enfant intérieur, il va réagir, grandir peut-être,
s'épanouir, sourire et vous inonder de toute sa candeur enfantine. Laissez
votre cœur s'ouvrir et accepter ce cadeau.
Ensuite, vous pouvez retranscrire votre ressenti par des mots, des phrases, ou un
dessin, en laissant libre cours à votre inconscient sans chercher à maitriser
quoique ce soit. Simplement et en toute bienveillance, sans jugement
reconnecter vous à ce beau moment que vous venez de partager.
« Par nos pensées, nous créons le monde ...»
by O.S.E.R.A COACHING